Il y a ces gens qu’on croise tous les jours au boulot.
Ceux qui arrivent à l’heure, participent aux réunions, remplissent leurs objectifs.
Parfois un peu fatigués. Parfois un peu en retrait.
Mais globalement « tout va bien », non ?
Et si je te disais que certains d’entre eux luttent en silence ?
Pas contre un dossier compliqué. Pas contre un collègue relou.
Mais contre leur propre corps. Leur mental. Leur système nerveux. Leur santé.
Les handicaps invisibles, c’est quoi exactement ? 🧠💥
C’est tout ce qu’on ne voit pas, mais qui existe bel et bien.
Ce sont :
- Les douleurs chroniques qui épuisent en continu.
- Les troubles neuro-atypiques (dyslexie, TDAH, TSA…).
- Les maladies mentales : anxiété, dépression, bipolarité…
- Les pathologies invalidantes mais invisibles (endométriose, lupus, migraines chroniques…).
- Les troubles du sommeil, de l’attention, de la concentration.
- Et tant d’autres choses qui se passent à l’intérieur… pendant que l’extérieur affiche un masque de “tout va bien”.
Ce que ça donne, au quotidien…
Ces personnes-là doivent souvent :
- Redoubler d’efforts pour tenir le même rythme.
- Se battre contre la fatigue, la douleur, la perte de concentration.
- Composer avec des traitements, des rendez-vous médicaux, des “jours sans”.
- Et parfois même… justifier leur souffrance auprès de ceux qui ne voient rien.
Parce que « tu n’as pas l’air malade », alors forcément, tu vas bien ? 🙃
Ce qu’on oublie souvent : leur courage
Ce que j’ai envie de dire aujourd’hui, c’est ça :
👉 Si tu fais partie de ces personnes, je te vois.
👉 Je vois ta force. Ton courage. Ton acharnement discret.
👉 Tu mérites 1000 fois plus de reconnaissance que ce que tu reçois.
Et si tu ne vis pas ça, mais que tu bosses avec quelqu’un qui semble parfois « à côté », « fatigué », « moins investi »…
Et si, plutôt que de juger, tu posais la question : “Tu vas bien en ce moment ?”
Tu serais surpris de voir à quel point un peu de douceur peut tout changer.
On peut être pro ET fragile.
Avoir un handicap invisible n’empêche pas d’être compétente, brillante, impliquée.
Mais ça veut dire qu’on ne fonctionne pas comme tout le monde.
Qu’on a besoin de plus d’écoute. De souplesse. Parfois d’aménagements. Et souvent… juste d’un peu d’humanité.
Le courage, ce n’est pas toujours faire de grandes choses.
C’est aussi se lever tous les matins avec une douleur au ventre.
C’est participer à une réunion avec le cerveau embué.
C’est rendre un dossier malgré une nuit blanche.
Alors aujourd’hui, je veux saluer ce courage-là.
Celui qu’on ne félicite pas. Qu’on ne voit pas. Mais qui mérite toute notre admiration.
Et toi, tu vis avec un handicap invisible ? Tu côtoies quelqu’un que ça concerne ?
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